Quand la maison de disque se permet de fabriquer une usine à gaz à 2 balles qu'ils vendent à 600 euros, là, le groupe ne peut rien dire.
Backtracks est peut être supervisé artistiquement par Malcolm, mais au niveau des prix de vente, il ne doit pas avoir son mot à dire (?)
Par contre la question qui se pose, c'est lorsque une entreprise qui gère les droits de licence d'un groupe, vend ces droits à un fabricant de ski ou a un producteur de vin, le groupe a t il un droit de regard ou un droit de véto ?, en résumé, peut il interdire la sortie d'un slip Motörhead par exemple ?
AC/DC est il au jus et consulté avant qu'un monopoly ou un Cabernet Sauvignon ne sorte ? Pas sur !
Si, pour Kiss, la question ne se pose pas, puisqu'ils ne s'en cachent pas, pas grand monde ici ne connait les termes exacts des contrats liant AC/DC et Leidseplein !
Alors prudence avant de jeter les groupes pour cupidité avancée !