Un concours est organisé dans un village basque pour déterminer le meilleur basque (le plus fort et le plus résistant je veux dire).
Ce concours se compose de trois épreuves :
- boire plusieurs tonneaux de vin
- tuer l'ours qui se cache dans la montagne à mains nues
- coucher avec une fille
Jusqu'à présent, plusieurs générations de basques ont tenté le concours mais ont toutes échouées.
Cette année, Peyo le berger qui vit seul dans la montagne est descendu au village. Hé ! Pour le concours, té !
Première épreuve : les autres concurrents tombent malade au bout du premier tonneau de vin,mais Peyo fini cette première épreuve en asséchant trois tonneaux. Il est quand même un peu saoul. Deuxième épreuve : On le traine jusqu'à la caverne où se cache l'ours pour qu'il puisse le tuer à mains nues. Les villageois le laissent là. Il est comme on dit haché mais pénètre dans la caverne.On entend des cris d'ours atroces. Ca dure cinq minutes , puis Peyo ressort de la caverne, toujours aussi saoul et il demande :
- Où elle est, la fille à tuer?

C'est Alfred qui rentre à 4h du mat' tout doucement et se fait surprendre par son Père :
- Nom de Dieu Alfred , tu as vu l'heure qu'il est ?!?!?
- Oui je sais Papa, mais euh... j'ai eu ma première expérience sexuelle cette nuit.
Alors le Père regarde fièrement son fils, et lui dit :
- Mon fils, je suis fier de toi ! Allons nous asseoir avec deux bières et tu me racontes !
Et le fils lui répond :
- Je voudrais bien, mais je peux pas encore m'asseoir...
Un curé est exaspéré de voir, chaque dimanche, deux de ses paroissiennes papoter pendant toute la durée de la messe. Un jour, où elles ne sont pas encore arrivées, il explique la situation aux fidèles déjà assemblés :
- Pour savoir ce qu'elles se disent, conclut-il, nous allons faire une chose très simple. Nous entonnerons un cantique et, au moment précis où je lèverai les deux bras en l'air, vous vous arrêterez d'un coup.
Les deux bavardes arrivent et entrent en grande conversation pendant que se déroule l'office. Au moment où débute le cantique, elles haussent le ton. Et puis, brusquement, au signal du curé, un grand silence se fait.
Et l'on entend une des deux potineuses dire, très fort, à son amie :
- Alors, vraiment, tu crois les horreurs qu'on raconte à propos du curé et de ses enfants de choeur?