Allez, un petit exercice de style en ce (triste) jour anniversaire, ce maudit 19 février.
Je propose à tous ceux dont la plume démange grâve de coucher dans ce topic votre quatrain (avec rimes, tout ça...) en hommage à Bon Scott.
J'avais déjà fait le(s) miens il y a quelque temps avec "Wild Wild Wild", re-voici un petit copié-collé du texte, aprés c'est à vous de jouer!
Un soupçon d’allure, quelque chose de « classe »,
Burinée la figure, ça passe ou ça casse,
Un zeste d’attitude, quelque peu volage,
Comme à tes habitudes, c’est d’la « haute voltage ».
‘Fallait voir la dégaine, ceinturon, jeans délavé,
Tétons et toison au vent, et chicos endommagées,
Quelques mots griffonnés, des croches et des décibels,
Un « Bad Boy Boogie », avec lui la vie est si belle.
Wild, wild, wild,
Ses tatouages luisaient fiers,
Et lui collaient à la peau,
Wild, wild, wild,
Un doux sauvage, sombre crinière,
Etalon, qu’il était beau!
Et puis, y’a cette voix qui me glace d’effroi,
Y’en faut des cailloux dans le gosier pour tant s’égosiller,
Dr « Ange » le jour, Mr « D. » le soir,
Tes amis risquent fort d’être de retour en noir !
‘Fallait le voir bouger, ‘fallait mater le déhanché,
C’était la bête humaine, c’était le mâle incarné,
Quelques mots griffonnés, des croches et des décibels,
Un « Love Hungry Man », avec lui la vie est si belle.
Un soir plus arrosé qu’un jour de février,
Ce matin Londonnien, et puis soudain, plus rien,
Orphelines d’amant, Rosie et toutes tes muses,
Cherchent au firmament, le son de ta cornemuse.