Ha ikki !
Tu commençais à me manquer...
Prendre du plaisir en jouant ? Est-ce bien là le sujet de mon discours ? jen pense pas, je ne remet en rien en cause la plaisir du jeu.
Alors peut être m'est il venu à l'idée de faire la plaidoirie pro-partitions ? Mais pourtant, il me semble bien que je dise des partitions qu'elles sont limitées et qu'elles ne sont que des modifications (oops j'avais employé le terme 'évolution') dues à une demande différente.
Je ne fais en rien l'apologie de la partition... Tout comme bon nombre d'entre vous, la partition me rebute assez souvant... Et pourtant j'essaie de comprendre par où je peux...
je pourrais donner des tas d'exemples prouvant que la partition est meilleur, tout comme je pourrais le faire pour la tablature...
Mais une seule chose me semble claire et nette : sans connaissance parfaite de l'instrument, la tablature n'est qu'illusion de musique, alors qu'avec une once de connaissance théorique en solfège, et en se forçant un peu, la musique devient un réel jeu intéressant.
Lorsque l'on compose, ou que l'on analyse une musique, on peut le faire à l'instinct, mais on peut aussi le faire en sâchant parfaitement où l'on va, ou l'en s'aidant un peu.
Par exemple, analyser une musique sans jamais l'avoir entendue et pouvoir affirmer pourtant la connaître (par exemple dire à la première écoute de cette musique, je la connais, je l'ai lu cette musique), ce n'est pas donnée à tout le monde. Pourtant, cela devrait être un objectif en musique : connaître jusqu'au bout des doigts le morceau.
Lorsqu'un musicien, ou un compositeur, emploie une gamme : à l'oreille, on peut tous savoir qu'il la joue (enfin tous,...
) mais à la lecture d'une tablature, combien d'entre vous savent (sans jouer) que c'est une gamme qui est écrite devant eux ? Une partition vous donnera, rien qu'à l'oeil cette information...
De la même façon, une tablature vous donenra exactement l'information vous permettant de jouer sans vous tromper l'accord où il faut, comme il faut, pour l'enchaîner au suivant sans vou tromper. Elle vous permettra d'afficher presque clairement la suite des accords, ce que l'on nomme la grille (faut il encore qu'il y en ait une, et que l'on possède un semblant de solfège). Mais sans cela, la partition vous donne le ton général, les modifications, etc ... etc ...
Pouvoir se reporter à l'un comme à l'autre, permet, pour la plupart des amateurs, de se faire une image mentale d'une morceau. Et pour improviser, jammer, ou ne serait-ce que se sentir à l'aise, il faut savoir quelle est cette image...
Pour en revenir au H allemand. Je ne sais malheureusement pas pourquoi les allemands emploiebt le H... Je sais simplement que le Sib leur était très util. a commencer par un certain JS BACH qui signait nombre de ses oeuvres d'une suite d'accords (ou de tonalités) telle qu'elle :
SI - LA - DO - Sib... soit B - A - C - H
par phoenix AC/DC » 24 Sep 2007, 22:14 
