Highwaytohell555 a écrit:Imaginez le, en 1992, qui découvre Fear of the Dark comme une nouvelle femme, jeune et jolie. Il est tombé sous le charme, directement, comme tout le monde. Il l'a admiré, adoré et épousé.
Non mon chum, j'en aimais d'autres, différentes ! En réalité, en '92, j'ai flashé sur les belles
Be Quick Or Be Dead,
From Here To Eternity,
Wasting Love, et
Judas Be My Guide, mais pas sur
Fear Of The Dark !
Cela dit, déjà lors de cette tournée, qui passa à l'été '92 par les Arènes de Béziers (à moitié vides ce soir-là, soit dit en passant...), c'est ce titre du dernier album en date qui fit le plus gros effet et pas les trois premiers cités. Qui, je le reconnais, ne se chantent pas en chœur...
Je rajouterai que
Chains of Misery,
The Fugitive,
Week-End Warrior m'ont également sacrément botté le derche à l'époque. Bref, un excellent album (hormis le titre éponyme

où la putain de basse sonne comme si on cognait sur des rails de chemins de fer) qui voyait ce groupe que je chéris revenir à des bases saines après des dérives "progressives" comme on disait dans l'temps.
ConanleMoloch a écrit:EDIT : je me permets de la poster car ça doit pas lui arriver souvent au père Dickinson ! Arrivée sur scène ratée lors du Sonisphere FInlandais (
[video]http://www.youtube.com/watch?v=IUEV7eo0N0w&feature=player_embedded[/video]
Quelle quiche ! Il a plus 20 ans pépère, faut qu'il fasse gaffe à son col du fémur !