Re: Votre dernière toile ?
Publié: 29 Sep 2019, 19:38
Cet après-midi j'ai vu Ad Astra. Superbe film spatial, immersif et intimiste. Brad Pitt est encore une fois époustouflant. Quant à James Gray, quel technicien et quel auteur! Dans la rue comme dans la jungle ou dans l'espace il parvient toujours à nous envoûter.
Il y a un mois j'étais allé voir Once Upon a Time… in Hollywood, dernier Tarantino en date, avec le même Brad mais cette fois en tandem avec DiCaprio. Le duo est vraiment excellent et le film est sympathique à souhait. On sent que QT s'est fait plaisir à mettre en scène cette époque, tant dans l'utilisation des décors, de la musique qu'avec les multiples références disséminées au cours du long-métrage. Si l'on peut lui reprocher une absence de direction manifeste dans le scénario, à y regarder de plus près il n'en est rien. L'envers de l'Hollywood des 60s est montré sans détour et cela passe par une succession de mésaventures, jusqu'au final débridé, drôle et émouvant. Car oui dans ce Tarantino il y a de l'émotion pure, ce qui en fait son film le plus personnel.
L'année n'est pas terminée mais mon coup de coeur cinéma de 2019 sera de loin pour Parasite, du sud-coréen Bong Joon-ho (pour ceux qui connaissent, The Host c'était son plus gros succès). D'habitude je ne me déplace pas pour les Palmes d'Or. Parasite fait donc figure d'exception. Mise en scène brillante, acteurs de talent (notamment le père de famille, dont l'interprète est une star dans son pays), histoire captivante, le film a tout pour plaire. Le cinéaste nous fait passer du rire au larmes, du suspense à l'horreur avec une maîtrise stupéfiante. Et fait rare, on se souvient de la fin longtemps après le visionnage.
J'ai vu ça hier soir. Excellent documentaire sur un sujet qui nous passionne forcément. J'aime beaucoup la démarche du réalisateur, qui se présente au début, ça apporte une touche très humaine à son projet. Les différents intervenants nous éclairent sur leur rapport à l'instrument du diable, chacun avec leur propre sensibilité artistique. Le mec des Bérus se la pète un peu mais c'est normal, c'est un punk. Zégut est toujours aussi légendaire. Au final le film nous apprend peu de choses mais nous fait prendre conscience de beaucoup d'autres.
Il y a un mois j'étais allé voir Once Upon a Time… in Hollywood, dernier Tarantino en date, avec le même Brad mais cette fois en tandem avec DiCaprio. Le duo est vraiment excellent et le film est sympathique à souhait. On sent que QT s'est fait plaisir à mettre en scène cette époque, tant dans l'utilisation des décors, de la musique qu'avec les multiples références disséminées au cours du long-métrage. Si l'on peut lui reprocher une absence de direction manifeste dans le scénario, à y regarder de plus près il n'en est rien. L'envers de l'Hollywood des 60s est montré sans détour et cela passe par une succession de mésaventures, jusqu'au final débridé, drôle et émouvant. Car oui dans ce Tarantino il y a de l'émotion pure, ce qui en fait son film le plus personnel.
L'année n'est pas terminée mais mon coup de coeur cinéma de 2019 sera de loin pour Parasite, du sud-coréen Bong Joon-ho (pour ceux qui connaissent, The Host c'était son plus gros succès). D'habitude je ne me déplace pas pour les Palmes d'Or. Parasite fait donc figure d'exception. Mise en scène brillante, acteurs de talent (notamment le père de famille, dont l'interprète est une star dans son pays), histoire captivante, le film a tout pour plaire. Le cinéaste nous fait passer du rire au larmes, du suspense à l'horreur avec une maîtrise stupéfiante. Et fait rare, on se souvient de la fin longtemps après le visionnage.
Sebastien a écrit:The six can talk est un sujet qui traite de la guitare (en tant qu’arme de contestation au gré des décennies )
J'ai vu ça hier soir. Excellent documentaire sur un sujet qui nous passionne forcément. J'aime beaucoup la démarche du réalisateur, qui se présente au début, ça apporte une touche très humaine à son projet. Les différents intervenants nous éclairent sur leur rapport à l'instrument du diable, chacun avec leur propre sensibilité artistique. Le mec des Bérus se la pète un peu mais c'est normal, c'est un punk. Zégut est toujours aussi légendaire. Au final le film nous apprend peu de choses mais nous fait prendre conscience de beaucoup d'autres.