par Jul' » 13 Jan 2021, 15:30
Je rejoins Bignoz à part dans le choix des titres écartés (il n’y a que Through The mists of Time que je zappe) (TTMOT pour Bolton).
Au casque, cet album martèle vraiment sévèrement : il n’y a aucun temps mort ou mollasson comme pour Rock or Bust ou Black Ice. Là honnêtement je reste scotché. J’ai parlé de la présence du père Brian, mais en y prêtant attention, ce bon vieux Rudd abat lui aussi un beau travail. Avant 2015, je ne prêtais pas attention à son jeu, je le classais dans la case « batteur historique d’acdc » du fait de son ancienneté. A l’arrivée de Slade, c’était génial parce que je pouvais rencontrer le mec qui a joué sur ce monstrueux « Live at Donington »... bref, Rudd ou Slade ça me convenait... jusqu’à ce concert de Savigny 2016 où devait se produire un Rudd souvent moqué, vieilli, avec un groupe risible... je crois que ce soir-là il a remis toutes les pendules à l’heure. Aucune critique n’était permise. Quelle frappe !!! Quel rythme !!! Ce soir-là j’ai compris pourquoi Rudd était incontournable. Ça fait donc un bien fou de le savoir sur cet album, derrière sa batterie, sans tralala, à faire le job, simple, carré.
Jul’.
"On est ressorti de là à moitié aveugle des oreilles" Wallace Idici
"Bordel, j'ai une de ces envies de pisser moi !" Brian Johnson, remontée mécanique de Val Thorens, 02/2015.