NOFX

Il y a parfois des chansons qui vous prennent aux tripes, sans que vous ne sachiez vraiment pourquoi ... Un style inattendu, une ambiance. Rien de ce que vous attendiez du groupe à qui vous prêtez l'oreille ...
NOFX vient de sortir sa dernière galette "SINGLE ALBUM". Cet album est, selon moi, loin de leurs meilleurs, mais certaines de leurs proses ont au moins le mérite de renverser la table.
FAT MIKE, qui d'habitude nous produit des titres plutôt orientées vers la déconnade ou l'ironie en moins de trois minutes, a revêtu son habit de clown triste pour nous plonger dans sa mélancolie pendant presque cinq minutes.
Le dernier titre de l'album, DOORS AND FOURS, en est la plus parfaite illustration. Retour dans le milieu punk de LOS ANGELES du début des années 1980 où le désespoir de la jeunesse d'alors se dispute à son envie de révolte - élément déjà palpable dans l'autobiographie des BAD RELIGION.
Jeunesse débasusée dont la principale occupation est de se trouver des moyens d'aller high au moindre coût. Voilà ce que raconte cette chanson. DOORS AND FOURS était le nom de rue utilisé pour le cocktail détonant composé des médicaments DORIDEN et TYLENOL 4 et dont les effets étaient on ne peut plus dévastateurs.
Was there a killer or did Jordan Hiller just have a death wish?
His parents didn’t need to find their oldest son cold as a fish
L'atmosphère créé par les paroles se colle immédiatement à la musique qui vous renverse dès les premières notes de guitare sèche et de basse.
On doors and fours we never knew
Which one of us was turning blue
Why wasn’t anybody scared?
Cuz we were teenagers on loads so no one really fucking cared
Rajoutez à ça le clip fait d'images d'archives et d'extraits du court-métrage "Trip to SAN FRANCISCO" à l'occasion du concert donné par le groupe hard-core SIN 34 ... On y retrouve même Pat SMEAR ...
Ce morceau, au même titre que le ROSE TATTOO des DROPKICK MURPHYS, me fout les chills up and down my spine.
https://youtu.be/BtdMMnw2syE

NOFX vient de sortir sa dernière galette "SINGLE ALBUM". Cet album est, selon moi, loin de leurs meilleurs, mais certaines de leurs proses ont au moins le mérite de renverser la table.
FAT MIKE, qui d'habitude nous produit des titres plutôt orientées vers la déconnade ou l'ironie en moins de trois minutes, a revêtu son habit de clown triste pour nous plonger dans sa mélancolie pendant presque cinq minutes.
Le dernier titre de l'album, DOORS AND FOURS, en est la plus parfaite illustration. Retour dans le milieu punk de LOS ANGELES du début des années 1980 où le désespoir de la jeunesse d'alors se dispute à son envie de révolte - élément déjà palpable dans l'autobiographie des BAD RELIGION.
Jeunesse débasusée dont la principale occupation est de se trouver des moyens d'aller high au moindre coût. Voilà ce que raconte cette chanson. DOORS AND FOURS était le nom de rue utilisé pour le cocktail détonant composé des médicaments DORIDEN et TYLENOL 4 et dont les effets étaient on ne peut plus dévastateurs.
Was there a killer or did Jordan Hiller just have a death wish?
His parents didn’t need to find their oldest son cold as a fish
L'atmosphère créé par les paroles se colle immédiatement à la musique qui vous renverse dès les premières notes de guitare sèche et de basse.
On doors and fours we never knew
Which one of us was turning blue
Why wasn’t anybody scared?
Cuz we were teenagers on loads so no one really fucking cared
Rajoutez à ça le clip fait d'images d'archives et d'extraits du court-métrage "Trip to SAN FRANCISCO" à l'occasion du concert donné par le groupe hard-core SIN 34 ... On y retrouve même Pat SMEAR ...
Ce morceau, au même titre que le ROSE TATTOO des DROPKICK MURPHYS, me fout les chills up and down my spine.
https://youtu.be/BtdMMnw2syE
