Il y a des matins, tu te lèves, la tronche enfarinée, et en pauvre réflexe stupide tu pianotes ton smartphone de daube devant ton 3eme café en espérant revenir à la lumiere du jour.
Et ces algorithmes pourris basés sur ton expérience digitale te proposent ça:
Tu reprends goût à la vie, et tu vois alors toute la misère du monde. Mais tu ne lâches pas. Et au bout d un moment tu te dis que quand même le bonhomme n est pas pathétique. C est un forçat. Il s'accroche, il s'entête, il souffre mais il revient à la charge, il éructe, il harangue, il se dechire et nous ouvre son cœur. J'adore cet homme. Je le respecte et je lui donne tout mon amour.