Voilà j'en reviens.
Que dire.
Ca commence par une rencontre devant Bercy. J'y retrouve Monsieur le Juge .
Quelques blabla et chacun par dans son coin, n'étant pas placé pareil.
En faisant la queue, on observe. Et comme d'hab ... oui comme d'hab c'est remplit de filles gaulées comme dans les magasines, habillées rock ultra sexy. Elles sont à tomber .... et toujours la même question : pourquoi on ne les croise que lors des concerts ? Elles sont où le reste du temps ? Hein ... z'êtes où les filles demain matin ? Déguisées en banquières ? En chargés de communication ? Z'êtes où ? JE vous voies jamais du lundi au vendredi moi
Un jour .. faudrait que j'en suive une .. histoire d'avoir la réponse
Dans Bercy, fin de pub .. le son sort des enceintes désormais ... For Those About To Rock ... qui s'enchaîne avec la première partie
Première Partie ... oui et non ... c'est pas mal .. mais ultra trop cliché. Bref sans grand intérêt finalement ... comme souvent les premières parties.
Place aux vieux. Direction Disney Land
Arrivée sur scène sous une ovation de feu. Bercy n'est certes pas plein ... mais bien rempli à 80%. Les espaces vides ne se comptes qu'en gradin, les fosse étant replie à ras bord.
Les voilà donc avec leurs masques, leurs déguisements et leur plates forms shoes.
Mon Dieu, comment peuvent ils marcher ?
Et jouer en même temps.
Une équation à plusieurs inconnus pour moi.
Bref c'est parti.
Feu d'artifice, riffs entraînants, poses ultra clichées (mais là ça passe, va savoir Charles

).
Autour de moi, nombreux sont ceux qui abordent fièrement les même masques.
C'est limite religieux ... mais je trouve ça rigolo.
Le son est nickel, la place parfaite (Merci toi au passage pour cette offrande de dernière minute).
4 écrans géants, des fumigènes, et toujours ces petits riffs qui te restent dans la tête. On dirait des mecs issus de Mad Max, avec des pompes de travello qui feraient de la pop un peu appuyée.
L'ambiance est joviale, le public reprend en coeur ces refrains un par un.
Premier solo ... signé Tommy Thayer qui joue avec le public, le larsen et termine son oeuvre en faisant partir des feux d'artifice depuis sa gratte.
Second solo ... Eric Singer à la batterie. Sa batterie est tout bonnement immense. Perso, j'ai peur. Déjà en règle générale, j'aime pas trop le plan 45 futs. Et pire le solo de batterie. Rarement emballent plus de 1m30.
Mais là, je dois bien avoué que le charme opère. Juste magistrale. L'homme au maquillage de chat arrive même à miner le minou en train de passer sa patte derrière les oreilles durant le solo entre deux frappes. Incroyable. Et puis PAN ... la batterie s'élève dans les airs. ENORME. Scotché je suis.
Quelques tubes plus tard c'est au tour de Simmons de s'envoler vers le heut de la scène, sur une palte forme qui l'attend tout en haut des projots. Séquence gorre.
Jeu de lumière parfait. On sent que c'est rodé depuis des années. Mais on tombe dans le piège. Oui c'est Disney Land. J'adore.
Les ventilos se mettent en route et crachent du confettis à remplir tout Bercy. On a l'impression que cela ne s'arretra jamais.
Paul Stanley ne cesse de répéter qu'il est heureux d'être à paris ... et nous fait entonné la marseillaise.
Il s'amuse à tapper l'intro de Straiway to heaven, il s'envelora lui aussi dans les rappels vers une plate forme qui l'attend tranquillement au fond de la salle.
Le show se terminera avec le fameux Detroit Rock City et ses feux d'artifices.
Plus de deux heures de shows, non de Shows.
Voilà c'était mon premier concert de KISS ... et ma fois, je suis sur le cul, malgrès que je savais à quoi m'attendre. Tout est réglé, mais on tombe sous le charme.
Et puis ... on sort, tout le monde se raonte son point de vue.
Heureux d'être venu et d'avoir asssiter à ça.
Merci les gars.
Bisous

What time is it ... Steeve ?
It's Boss Time ...