Marshall Vintage Modern

Allez parce que les mauvaises langues existent, et que j'en fais partie :
Non Marshall n'a pas vendu son âme au diable...
Donc reprenons les faits :
A mon sens, Marshall a arrêté de faire des bons amplis après le JCM800, ampli mythique s'il en est. Le JCM800 est le son de 3/4 dans tubes des 80's. reposant sur une architecture (électronique) assez simple, mais très efficace, le JCM800 est un peu la Telecaster des amplis : simple mais passe partout, ou presque... Il avait aussi quelques lacunes qui lui procuraient du charme : son clean pas vraiment clean mais bon...
En réalité, je vais me reprendre : Marshall AVAIT arrêté de faire des bons ampli. Le summum étant arrivé avec le Mode Four...
Suite à ces produits peu convaincants, Marshall, fort de sa notoriété, et de son prestigieux passé, a alors décidé de fabriquer des répliques. Un peu comme une SG réissue, la firme anglaise s'est constitué une véritable petite flotte de revenants : Jcm 800 Ri, Slash Signature, JH signature, etc ...
Que d'amplis de bonne qualité, même excellente, mais qui n'avaient rien d'exceptionnels vu l'âge de leur moule... Cependant, Marshall entame dès lors une remonté vertigineuse puisque le JVM et le Vintage Modern sont annoncés. Si le JVM est en droite ligne des amplis modernes, suréquipés, et avec un son énome et plein de basse, mon coeur penche naturellement vers le Vintage Modern...
Quel est donc cet ampli : Vintage Modern
Pour reprendre la formule de Marshall : Quel étrange paradoxe...
Habituellement, Vintage et modern ne font pas bon ménage... Il faut alors comprendre quelle a été la volontée de Jim pour cet ampli :
Proposer un ampli actuel par ses services, et vintage par son coeur, son âme...
Bien évidemment quels sont ces éléments ? Et bien les voici :
Moderne :
- Boucle d'effet avec choix du niveau de sortie (-10/+4 dB) : Ceci n'existait pas sur les ancêtres, et répond à une demande des guitaristes d'aujourd'hui de pouvoir en posséder une, sans la faire installer à postériori.
- Réverbe numérique footswitchable : Une réverbe, rien de nouveau. Mais les réverbe a ressort qui font 'CHLONG' dès qu'un mec saute sur scène, c'est un peu moyen. La réverbe numérique permet ici d'éviter ces problèmes, tout en garantissant une réverbe plutôt agréable pour un ampli. Le footswitch est là encore une réponse au besoin du guitariste moderne.
- Choix de dynamique : Low or High dynamique range, ou comment passer du son d'un plexi boosté, à celui d'un ampli HiGain. Là encore, la sélection peut se faire par footswitch, et passer de l'un à l'autre permet de passer de l'accompagnement au solo d'un click...
- Body - Detail : deux fréquences de réglage pour la saturation... En gros, un bouton pour régler les basses, et l'autre les aigus, ce qui permet d'ajuster son propre son, et de l'ajuster aussi à son instrument.
Vintage :
- La puissance est régie par 2 ou 4 KT66, qui sont des lampes guère usitées de par leur prix et leur rareté depuis des anées. Cependant avant le JCM800, la plupart des tubes rock des 60's et 70's sont passés par ce genre de lampe de puissance... Plus rondes et chaleureuses que les habituelles El34 (JCM800), ces lampes sont les garantes des amplis d'autre foi.
- La bête est un mono canal où l'on passe du clean au crunch puis à disto en réglant simplement son potard de volume et de tone sur la gratte... finies les claquettes incessantes pour passer de l'un à l'autre en plein millieu de morceau...
Bref, apparemment rien de très envoutant dans ce que j'annonce...
Non Marshall n'a pas vendu son âme au diable...
Donc reprenons les faits :
A mon sens, Marshall a arrêté de faire des bons amplis après le JCM800, ampli mythique s'il en est. Le JCM800 est le son de 3/4 dans tubes des 80's. reposant sur une architecture (électronique) assez simple, mais très efficace, le JCM800 est un peu la Telecaster des amplis : simple mais passe partout, ou presque... Il avait aussi quelques lacunes qui lui procuraient du charme : son clean pas vraiment clean mais bon...
En réalité, je vais me reprendre : Marshall AVAIT arrêté de faire des bons ampli. Le summum étant arrivé avec le Mode Four...
Suite à ces produits peu convaincants, Marshall, fort de sa notoriété, et de son prestigieux passé, a alors décidé de fabriquer des répliques. Un peu comme une SG réissue, la firme anglaise s'est constitué une véritable petite flotte de revenants : Jcm 800 Ri, Slash Signature, JH signature, etc ...
Que d'amplis de bonne qualité, même excellente, mais qui n'avaient rien d'exceptionnels vu l'âge de leur moule... Cependant, Marshall entame dès lors une remonté vertigineuse puisque le JVM et le Vintage Modern sont annoncés. Si le JVM est en droite ligne des amplis modernes, suréquipés, et avec un son énome et plein de basse, mon coeur penche naturellement vers le Vintage Modern...
Quel est donc cet ampli : Vintage Modern
Pour reprendre la formule de Marshall : Quel étrange paradoxe...
Habituellement, Vintage et modern ne font pas bon ménage... Il faut alors comprendre quelle a été la volontée de Jim pour cet ampli :
Proposer un ampli actuel par ses services, et vintage par son coeur, son âme...
Bien évidemment quels sont ces éléments ? Et bien les voici :
Moderne :
- Boucle d'effet avec choix du niveau de sortie (-10/+4 dB) : Ceci n'existait pas sur les ancêtres, et répond à une demande des guitaristes d'aujourd'hui de pouvoir en posséder une, sans la faire installer à postériori.
- Réverbe numérique footswitchable : Une réverbe, rien de nouveau. Mais les réverbe a ressort qui font 'CHLONG' dès qu'un mec saute sur scène, c'est un peu moyen. La réverbe numérique permet ici d'éviter ces problèmes, tout en garantissant une réverbe plutôt agréable pour un ampli. Le footswitch est là encore une réponse au besoin du guitariste moderne.
- Choix de dynamique : Low or High dynamique range, ou comment passer du son d'un plexi boosté, à celui d'un ampli HiGain. Là encore, la sélection peut se faire par footswitch, et passer de l'un à l'autre permet de passer de l'accompagnement au solo d'un click...
- Body - Detail : deux fréquences de réglage pour la saturation... En gros, un bouton pour régler les basses, et l'autre les aigus, ce qui permet d'ajuster son propre son, et de l'ajuster aussi à son instrument.
Vintage :
- La puissance est régie par 2 ou 4 KT66, qui sont des lampes guère usitées de par leur prix et leur rareté depuis des anées. Cependant avant le JCM800, la plupart des tubes rock des 60's et 70's sont passés par ce genre de lampe de puissance... Plus rondes et chaleureuses que les habituelles El34 (JCM800), ces lampes sont les garantes des amplis d'autre foi.
- La bête est un mono canal où l'on passe du clean au crunch puis à disto en réglant simplement son potard de volume et de tone sur la gratte... finies les claquettes incessantes pour passer de l'un à l'autre en plein millieu de morceau...
Bref, apparemment rien de très envoutant dans ce que j'annonce...