1984 : rédécouverte

Cela est sans doute dû aux rappels à l'ordre incessants de Judge Dan
, mais je redécouvre en ce moment cette période live du groupe, que j'avais un peu laissé de côté depuis quelque temps. Hé là, quel choc. Support de ce voyage temporel, Turin 1984. Des versions de folie, un son brut, des envolées d'Angus (Bad Boy Boogie) qui ne sont pas sans rappeler 78, dans l'impro à la fois minimaliste et électrisante.
Un grand Brian aussi, et une rythmique atomique. Malcolm envoie le bois grave
et les morceaux issus de Flick sont vraiment excellents.
L'apogée reste à venir: Rio 85.
Du coup, je demande pardon aux boys : décidément, il n'y a pas de petite période AC/DC.

Un grand Brian aussi, et une rythmique atomique. Malcolm envoie le bois grave

L'apogée reste à venir: Rio 85.
Du coup, je demande pardon aux boys : décidément, il n'y a pas de petite période AC/DC.
