HighwayToACDC.com

Hi!

A plusieurs époques de leur carrière, les Boyz ont été au bord de la rupture. Que ce soit interne, ou relayé par les médias pour faire monter les ventes.

1976 déjà, où, suite au concert de Reading qui s'est très mal déroulé, chacun des membres a rejeté la faute sur l'autre, plutôt que de faire équipe et de poser cartes sur table. La légende, mais en est-ce vraiment une?, veut que dans les loges après le gig, la situation s'est vite envenimée.

On passera sur l'année 1980 où toutes les hypothèses et autres rumeurs ont couru de par le monde avec l'événement que vous connaissez.

1986........ l'émission Doum-Doum-wa-wa sur RMC annonçait un truc du genre "AC/DC, c'est terminé!". L'émission étant, bcp ont pris en considération les propos alors balancés. Après les échecs commerciaux de Flick of the Switch et de Fly on the Wall, AC/DC remontait dans l'estime de ses fans avec l'album(?) Who made Who. Paradoxe d'une situation où tout revenait à une sorte de vitesse de croisière et l'annonce d'un split.

1988...... et le départ de Malcolm. Là, bcp d'entre nous ont cru que c'était le début de la fin. Comment le père fondateur d'AC/DC pouvait-il quitter son bébé? Mais surtout, comment ce bébé pouvait-il y survivre? Il n'en fût rien. Déjà qu'en 1983, le départ de Phil Rudd avait été perçu comme relevant de l'incroyable, alors celui de Malcolm, pensez donc!

1996: à la fin de la tournée Ballbreaker, un magazine français titrait "Bye-Bye AC/DC"! Jolie façon de vendre. Là encore, une majorité a cru que le titre faisait référence à la fin du groupe. Il n'en n'était rien!

Enfin, on notera que depuis Stiff upper Lip jusqu'à Black Ice, soit 8 ans, les rumeurs ont surtout concerné le titre du nouvel album, et rarement la fin des Boyz!

Dis Eirka l'hisoire du concert de Reading t'as pas plus de détail parce que j'ai comme un trou de mémoire. C'est celui qui avait vu l'altercation des boys avec Deep Purple ?

Hi!

Non, rien à voir avec DP! (du moins, je crois!)

Pour le Reading, une prestation pas vraiment convaincante, (le boot en témoigne), conjuguée à un horaire de passage pas vraiment adapté ont fait de ce concert un ratage, alors que les Boyz en attendaient bcp pour leur intégration et leur popularité sur le sol anglais. La presse, pour le peu qu'elle se soit intéressé à AC/DC ce jour là, n'a pas été élogieuse.

Je me souviens avoir pensé la meme chose en 96 suite à la couverture de Hard'n'Heavy (si je ne me trompe pas) alors que l'article en lui-meme faisait référence à la fin de la tournée.
Cela-dit on a connu pire question couverture peu avant avec un sublime "AC/DC, la fin des illusions hard"

Pour ce qui est de 88, je pense que si je l'avais vécu ça n'aurait pas été la plus belle des journées.

EirKa a écrit:Hi!

Non, rien à voir avec DP! (du moins, je crois!)

Pour le Reading, une prestation pas vraiment convaincante, (le boot en témoigne), conjuguée à un horaire de passage pas vraiment adapté ont fait de ce concert un ratage, alors que les Boyz en attendaient bcp pour leur intégration et leur popularité sur le sol anglais. La presse, pour le peu qu'elle se soit intéressé à AC/DC ce jour là, n'a pas été élogieuse.

En effet, c'était pas... excellent. Je viens juste de regarder le vidéo (qui est en fait une chanson avec des images qui défilent...)... j'ai seulement écouté The Jack... le riff est fait un peu... non, sans commentaire. Bon chante comme... pas de commentaire non plus ...

MonsieurRocknroll a écrit:

EirKa a écrit:Hi!

Non, rien à voir avec DP! (du moins, je crois!)

Pour le Reading, une prestation pas vraiment convaincante, (le boot en témoigne), conjuguée à un horaire de passage pas vraiment adapté ont fait de ce concert un ratage, alors que les Boyz en attendaient bcp pour leur intégration et leur popularité sur le sol anglais. La presse, pour le peu qu'elle se soit intéressé à AC/DC ce jour là, n'a pas été élogieuse.

En effet, c'était pas... excellent. Je viens juste de regarder le vidéo (qui est en fait une chanson avec des images qui défilent...)... j'ai seulement écouté The Jack... le riff est fait un peu... non, sans commentaire. Bon chante comme... pas de commentaire non plus ...

Ouai pas excellent mais c'est un concert un peu à l'image de ce qu'était le groupe à cette période, un petit groupe qui essayait de perçer, il y avait des jours avec et des jours sans. Pour moi AC/DC a pris de l'envergure vraiment à partir de 1977 et surtout grâce à l'arrivée de Cliff Williams.

Sinon petit hors sujet, je n'avais jamais remarquer que le concert de Cleveland 1979 avait été filmé. Avec une petite remasterisation de l'image et du son je vois bien ces images finir un jour dans un coffret dvd quelconque.

Bonny94 a écrit:Ouai pas excellent mais c'est un concert un peu à l'image de ce qu'était le groupe à cette période, un petit groupe qui essayait de perçer, il y avait des jours avec et des jours sans. Pour moi AC/DC a pris de l'envergure vraiment à partir de 1977 et surtout grâce à l'arrivée de Cliff Williams.

Mon père connaissait déjà AC/DC en 1976. Peut-être étaient-ils un peu connus au temps où ils suivaient Kiss aux États-Unis? (petit HS, j'ai vu Kiss hier à Québec ).

Je ne pense pas que ce soit Cliff Williams lui-même qui ait pu "partir" le groupe, mais plutôt l'ensemble de ce qui s'est passé en 1977-1978... ils n'arrêtaient pas de faire des concerts, l'Apollo à Glasgow, etc etc... à un moment donné ça fini par donner des résultats à la longue. Surement que le vrai gros "boum" du groupe ça a été Highway to hell qui les a expulsé sur la scène internationale.

MonsieurRocknroll a écrit:

Bonny94 a écrit:Ouai pas excellent mais c'est un concert un peu à l'image de ce qu'était le groupe à cette période, un petit groupe qui essayait de perçer, il y avait des jours avec et des jours sans. Pour moi AC/DC a pris de l'envergure vraiment à partir de 1977 et surtout grâce à l'arrivée de Cliff Williams.

Mon père connaissait déjà AC/DC en 1976. Peut-être étaient-ils un peu connus au temps où ils suivaient Kiss aux États-Unis? (petit HS, j'ai vu Kiss hier à Québec ).

Je ne pense pas que ce soit Cliff Williams lui-même qui ait pu "partir" le groupe, mais plutôt l'ensemble de ce qui s'est passé en 1977-1978... ils n'arrêtaient pas de faire des concerts, l'Apollo à Glasgow, etc etc... à un moment donné ça fini par donner des résultats à la longue. Surement que le vrai gros "boum" du groupe ça a été Highway to hell qui les a expulsé sur la scène internationale.

Je ne dis pas que c'est l'arrivée de Cliff qui a fait monter le groupe à un niveau supérieur mais ça coïncide avec son arrivée. De toute façon à partir de la tournée Let There Be Rock y a quelques choses qui a changer dans le groupe.

Bonny94 a écrit:

MonsieurRocknroll a écrit:

Bonny94 a écrit:Ouai pas excellent mais c'est un concert un peu à l'image de ce qu'était le groupe à cette période, un petit groupe qui essayait de perçer, il y avait des jours avec et des jours sans. Pour moi AC/DC a pris de l'envergure vraiment à partir de 1977 et surtout grâce à l'arrivée de Cliff Williams.

Mon père connaissait déjà AC/DC en 1976. Peut-être étaient-ils un peu connus au temps où ils suivaient Kiss aux États-Unis? (petit HS, j'ai vu Kiss hier à Québec ).

Je ne pense pas que ce soit Cliff Williams lui-même qui ait pu "partir" le groupe, mais plutôt l'ensemble de ce qui s'est passé en 1977-1978... ils n'arrêtaient pas de faire des concerts, l'Apollo à Glasgow, etc etc... à un moment donné ça fini par donner des résultats à la longue. Surement que le vrai gros "boum" du groupe ça a été Highway to hell qui les a expulsé sur la scène internationale.

Je ne dis pas que c'est l'arrivée de Cliff qui a fait monter le groupe à un niveau supérieur mais ça coïncide avec son arrivée. De toute façon à partir de la tournée Let There Be Rock y a quelques choses qui a changer dans le groupe.

Quoiqu'il en soit, Cliff est l'un des éléments survenus dans ces années là.

Ce qui les a peut-être fait connaître aussi sont peut-être toutes cette attention médiatique. Par exemple, les médias du temps disaient souvent que ça ne valait pas cher du kilo, ou je ne sais pas... Mais c'est clair que ce sont ces années là qui ont été cruciales à la maturation du groupe!

Bye Bye AC/DC ne signifie que de dire Au revoir au groupe... "Au prochain album"

Je commencerai vraiment à craindre pour AC/DC quand on parlera de tournée d'adieu ou quand un potin portera le titre "Adieu AC/DC"

Sinon, il y a encore de l'espoir d'un autre album et d'une autre tournée éventuelle.

GodOfRock76 a écrit:Bye Bye AC/DC ne signifie que de dire Au revoir au groupe... "Au prochain album"

Le doute était permis !
Je me souviendrai longtemps de ce Hard Rock Mag, couverture jaune, paru en février 1997. Ce "Bye bye AC/DC" écrit en gros m'avait fait un choc. A sa lecture, on pensait plus à la fin d'AC/DC que de la tournée ! (on est en février 1997 et la dernière date de la tournée remonte à fin novembre 1996 !!!!!). Ce jour-là je me souviens avoir mis 2 secondes pour enlever le plastique protégeant le mag', et m'être rué sur le fin de l'interview afin de voir si réellement le groupe mettait ou non un terme à sa carrière... Quel stress !

Jul'.

Je me rappelle de cette couv' et du magazine.


C'était pour la fin de la tournée et leur départ en vacances (hibernation?)!
Avec une interview des frères Young, "la paire de guitaristes la plus couillue du rock". Ils y parlaient surtout du bilan de la tournée et de leur gros break à venir.

"La fin des illusions hard?" c'était un Rock'N'Folk de 95 mais ce titre était à propos du retour plus prononcé du Blues dans les compos de Ballbreaker, par rapport à la surenchère métallique de TRE.

Jul' a écrit:

GodOfRock76 a écrit:Bye Bye AC/DC ne signifie que de dire Au revoir au groupe... "Au prochain album"

Le doute était permis !
Je me souviendrai longtemps de ce Hard Rock Mag, couverture jaune, paru en février 1997. Ce "Bye bye AC/DC" écrit en gros m'avait fait un choc. A sa lecture, on pensait plus à la fin d'AC/DC que de la tournée ! (on est en février 1997 et la dernière date de la tournée remonte à fin novembre 1996 !!!!!). Ce jour-là je me souviens avoir mis 2 secondes pour enlever le plastique protégeant le mag', et m'être rué sur le fin de l'interview afin de voir si réellement le groupe mettait ou non un terme à sa carrière... Quel stress !

Jul'.

+1 je dois dire que quand j'avais vu la couverture de ce mag ça m'avait foutu un mechant coup de poing a l'estomac!!!
ha les requins ils savent y faire pour vendre!!

Bye Bye AC/DC ? Vous êtes paranos, les gars, moi je l'avais tout de suite compris comme une allusion à la fin de la tournée. Connaissant les boys, je savais, mélancolique, que plusieurs longues années de silence s'annonçaient.

Sinon pour l'amélioration du groupe en 77, c'est peut-être plus dû départ de Mak Evans qu'à l'arrivée de Cliff Willimas ... Je veux dire par là que la cohésion entre individus est essentielle dans ce groupe, et la présence de Mark (détesté par Angus) devait mettre une distance qui se ressentait dans la musique ...

Sinon pour revenir aux sujet du post, d'après des rumeurs, les Young auraient songé à virer Bon Scott en 77 à cause de ses nombreux excès.

Lui-même aurait songé à quitter le groupe peu avant sa mort, trouvant leur style de musique limité. Crédible sur le fond (la culture et l'activité musicale de Bon étant beaucoup plus large que celle des Young), mais vu le succès du groupe et leur amitié, j'y crois pas.

Brian aurait été sommé en 88 de se reprendre sur son chant et son attitude sur scène sous peine de se voir limogé : affirmation mise sous forme de question à l'intention de Georges Young dans une interview in Let There Be Light. Georges a démenti, mais bon ...

des rumeurs, hein ...

Merci Jul' et CIB pour le rafraichissement de la mémoire.

Michimitzu a écrit:Brian aurait été sommé en 88 de se reprendre sur son chant et son attitude sur scène sous peine de se voir limogé : affirmation mise sous forme de question à l'intention de Georges Young dans une interview in Let There Be Light. Georges a démenti, mais bon ...

Le seul à pouvoir virer quiconque du groupe est Malcolm et quand on connait ses problemes de l'époque...
...et bien on se dit qu'il a bien fait de s'auto-virer avant de faire des conneries.