sydney76 a écrit:Aucun album depuis 1988 ne m'a réellement déçu. A la sortie de Flick et de Fly j'ai senti qu'il y avait un truc qui manquait, comment dire ? Et puis depuis, j'ai appris à les apprécier, Flick notamment, hélas très mal produit, comme Fly (voix de Brian)...
Uncle Ben's a écrit:sydney76 a écrit:Aucun album depuis 1988 ne m'a réellement déçu. A la sortie de Flick et de Fly j'ai senti qu'il y avait un truc qui manquait, comment dire ? Et puis depuis, j'ai appris à les apprécier, Flick notamment, hélas très mal produit, comme Fly (voix de Brian)...
je suis d accord pour flick, album qui m'avait laisser de marbre à la 1ère écoute, mais que j'ai su apprécier avec le temps! Espérons que cet album mette moins de temps à se faire apprécier tout de meme.
Thomas Wilkens a écrit:On parle de la voix dans Fly, mais que dire de celle dans The Razor's Edge ? Je sais pas comment ils se sont démerdé pour que Brian, qui chante avec une incoryable puissance dans les enregistrements live de l'époque, soit si faible sur l'album ! Enfin, TRE reste un grand disque.
williamdunord a écrit:sympa la mise à jour de AC/DC 101... bon ok les vidéos proposées sont connues, mais ça fait toujours plaisir de les revoir...
et je trouve les photos en bas plutôt réussi, je veux dire celle de 2008... si quelqu'un sait comment on peut les avoir en grand format, je suis intéressé !
Grompf a écrit:J'ai une question sur le chant de Brian Johnson. Il a cette façon de "forcer" sa voix, comme s'il se crispait, à la limite du cri (je ne sais pas si mes mots sont assez clairs). Or, dans les deux derniers albums, il y a eu quelques moments où il semblait laisser aller sa voix, comme s'il chantait de manière plus décontractée. Je pense à l'intro de Boogie Man, à un passage de Hail Caesar puis à l'intro de Stiff Upper Lip. Ce ne sont que de petits passages fugaces, comme s'il cherchait à donner un effet ponctuel au morceau... Mais moi j'ai bien aimé ; j'ai trouvé que Brian montrait pendant quelques secondes une classe qui rappelait son glorieux prédécesseur.
Je me suis demandé si l'exercice se reproduisait sur Black Ice.
Je me suis aussi demandé ce que pourraient donner certains vieux morceaux chantés de cette manière.
Arno Chapon a écrit:On est d'accord la-dessus, je rajouterais juste Powerage en plus des trois albums cités. (je suis désolé, j'y reviens à chaque fois mais j'adore ce disque depuis toujours : Gimme a Bullet, Gone shootin', Sin City, Cold Hearted man sont des titres qui m'ont accompagnés des années durant et que j'écoute toujours autant). Et c'est vrai que les albums de l'ère Bon Scott auront toujours ce parfum si particulier du à l'incroyable personnalité de ce chanteur hors norme. (quand je pense qu'il est mort à 33 ans et que j'en ai 40, ça me fait vraiment bizarre , tant gamin, je l'imaginais "vieux roublard plein d'expérience en tout genre"). Dans cette période assez courte, à peine 7 ans finalement, il n' y a pas grand-chose à jeter. Moins c'est sûr que dans les 28 dernières années. Bon, c'est vrai que la nostalgie joue aussi, comme pour beaucoup d'entre nous, écouter ces disques très jeune (12 ans en 1980 quand je découvre BIB puis très vite tous les disques période Bon) m'a considérablement marqué. Je me souviens qu'à l'époque , AC/DC était omniprésent dans nos discussions lycéennes et que ça tournait à l'obsession. Combien de photos d'Angus parsemaient les murs de ma chambres? Un paquet!!!
Quant à la période Johnson, c'est vrai que les circonstances particulières de l'enregistrement de Back in Black et l'état d'esprit dans lequel il a été composé en font un chef d'oeuvre d'émotion, d'intensité et d'homogénéité qui rendent les albums suivants plus futiles, moins cruciaux, plus "entertainement" même si on peut trouver au moins deux/trois excellents titres dans chacun.
Perso, j'ai retrouvé de bonnes sensations avec StiFF Upper Lip et la production de George Young qui renouait un peu avec le AC/DC old Shool que j'adore.
Mais au-delà de la déception ressentie, après le choc que fut BIB, à l'écoute de FTATR (Déjà je trouvais la pochette dorée ornée du canon "guerre de sécession" vraiment moche à l'époque) et des albums qui ont suivis (on va pas refaire le débat Flick of the Switch mais quand même : quelle baisse de qualité dans les compos, sans parler de la production genre métal US), AC/DC n'a jamais quitté le panthéon de mes groupes préférés et reste le groupe le plus important de la bande originale de ma petite existence. Et là j'ai vraiment l'impression avec Black Ice que je vais renouer avec des sensations "adolescentes" que j'aime toujours autant ressentir malgré mes trois enfans et ma vie de père de famille.
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