Hi!
Hier soir, j'ai réécouté l'édition vinyle de Powerage. Celle que je possède depuis plus de 30 ans. Celle qui contient un mixage différent de son homologue australien.
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas, voici un bref état des lieux précisant les différences entre les 2 éditions.
Rock&Roll Damnation: se termine par un fade out.
Gimme a bullet: absence des choeurs
Down Payment Blues: le petit motif de fin est absent. Bon conclue tout seul comme un grand.
What's next to the moon: absence des choeurs et du chorus.
Voici les différences majeures entre le mixage australien et son équivalent "rest of the world". Up to my neck in you et Kicked in the teeth possèdent quelques variantes infimes, ne troublant pas réellement le morceau.
Bref, en réécoutant la version "light", je me suis demandé ce qui avait pu motIver certaines personnes à proposer une telle édition aussi épurée. Gimme a bullet et What's next to the moon perdent réellement en efficacité, au point de paraître comme des basic-tracks ou des rought mixes (c'est selon)
Ceci dit, lorsque Powerage est paru, bon nombre de fans français et de Navarre n'avaient eu vent d'un mixage australien bcp plus riche. Ceci ne les a pas empêché d'apprécier l'album comme il se doit. Aujourd'hui, avec l'avènement de la version australienne sur CD, la comparaison est tout autre.
On remarquera que ces mixages radicaux ne concernent pas ce que l'on peut considérer comme des standards du groupe. Soit des morceaux joués en live de manière récurrente, comme Sin City ou bien encore Rock&Roll Damnation.
Bref, je me répète, je me demande ce qui a pu motiver la parution d'une telle édition allégée!